Pour les 30 ans d’Estetica, nous sommes partis à la rencontre de nos abonnés les plus fidèles. Entretien avec Hélène Sourisseau, propriétaire du salon Linéa Valle à Montaigu-Vendée.
Hélène Sourisseau, fidèle abonnée à Estetica, est à la tête du salon Linéa Valle à Montaigu Vendée depuis 10 ans, après en avoir été le manager pendant 20 ans. Il appartenait alors à Romain Valle, issu du monde de la mode et fondateur de plusieurs établissements. « Lorsqu’il a décidé de vendre ses salons, je le lui ai racheté. Je suis tout à fait indépendante. »
Hélène, depuis combien de temps connais-tu Estetica ?
Je connais le magazine depuis longtemps. Je pense que je l’ai découvert dès sa sortie. Lorsque j’ai commencé dans la coiffure, très vite, j’ai eu des magazines professionnels entre les mains. Je conserve tous les numéros pour avoir un historique de la coiffure, voir comment elle a évolué. Estetica nous a énormément motivés pour les shows et les défilés à l’époque où nous en organisions. Ce magazine était une véritable source d’inspiration.
Quelles sont les pages que tu préfères ?
J’aime les pages artistiques qui mettent en valeur les jeunes talents par le biais de concours. Je prends également beaucoup de plaisir à parcourir la qualité des photos qui donnent de très bonnes idées pour de nouvelles coupes dans notre salon. J’aime son côté élégant. Il s’adresse à tout le monde.
Que penses-tu du papier par rapport au digital ?
Les deux sont importants et complémentaires. Je constate forcément qu’il existe de moins en moins de magazines de coiffure. Or j’aime les parcourir et les montrer à mes clientes pour leur donner des idées de coupe. Ils sont aussi des supports essentiels que j’utilise pour communiquer avec mon équipe.
De ton côté, comment gères-tu le digital pour ton salon ?
Je compte sur mon équipe et entre autres ma collaboratrice Valérie Brizard. Elle est passionnée par l’artistique. J’apprécie énormément le fait qu’elle choisisse des femmes de tous les jours. Elle leur permet de prendre confiance en elles. C’est important de revenir à la réalité car dans le digital, le contenu, très souvent, s’en éloigne complètement !
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